« Nous souffrons plus souvent dans notre imagination que dans la réalité. »
Sénèque

Dans cet article :

  • L’histoire de ma ridicule attaque de panique
  • La leçon incroyablement puissante que j’en tire
  • La méthode aigre-douce

I- LA RÉVÉLATION

A- Merci, ô attaque de panique

C’était un terrible après-midi d’octobre 2013. Une petite salle de classe, à l’Université de Nantes. Il devait faire 50°C. Oui, au moins ça ! Aucun projecteur, mais tous les regards braqués sur moi. Ma gorge était nouée. On attendait que je parle. J’avais la bouche sèche. Il fallait dire quelque chose. N’importe quoi. Non, pas n’importe quoi. Surtout pas ! Tremblantes, mes mains moites tenaient une feuille où mon texte était imprimé. Mon cœur battait si fort, je songeai qu’on devait l’entendre à l’autre bout de la pièce. Pour en étouffer le son, j’entamai mon discours d’une voix fébrile. Pfff, pire que « fébrile » ! Un peu comme le miaulement d’un chaton qu’une voiture écraserait, mais pour la deuxième fois…

B- Un problème universel

Je méditais cette bizarrerie. Laissez-moi vous faire une confidence : je ne suis pas un grand timide. Cet échec était donc d’autant plus vexant. Et moi qui aimais organiser les bals de promo, jouer les porte-parole, lever la voix face au catéchisme des « zexperts », et prononcer mes discours politiques sur la place publique… Où avait donc fui ma témérité ? 

En dépit de ces expériences passées, je fus pris de panique pour une rapide prise de parole, alors que je n’étais entouré que d’une poignée de jeunes étudiants, doux comme le silence des agneaux – presque aussi doux que George, dans la pub des Tic-tac ! Rempli d’orgueil, je me torturais l’esprit : Comment cela pouvait-il m’arriver « à moi » ? 

En fait, la timidité à ces divers degrés peut affecter n’importe qui. Je découvris ce jour-là deux règles essentielles de la confiance en soi :

  • N°1 : Ce n’est pas une question d’identité, mais d’état d’esprit
  • N°2 : Il me manquait un ingrédient secret : l’humilité. Le Moi que je souhaitais projeter était meilleur que le Moi réel. Un décalage intimidant.

Paradoxalement, en reconnaissant depuis lors mes défauts et mes limites avec transparence, je me sens beaucoup plus confiant.

C- Je vous ai compris !

Aussi sans être un grand timide, je comprends ceux qui se définissent comme tels. Je sais ce qu’est l’anxiété face à un public, la peur de l’autre, ce qu’elle provoque en nous, la détresse qu’elle peut susciter, tout ce qu’elle nous empêche d’accomplir et les buts de vie qu’elle promet de nous interdire si on ne la combat pas.

En dehors de tout ça, je reste un vrai junkie social : complètement addicte aux nouvelles rencontres ! J’aime parler en public et j’adore les bains de foules. Mon histoire n’est pas celle d’une métamorphose au sens hollywoodien. Mais je tenais à vous raconter cet événement, car il a renforcé mon envie d’aider les timides. Voici comment je peux m’y prendre.

II- LA VIE EN ROSE

A- Le timide, un chocolat dans de l’aluminium

1) Gauche ou droite ?

J’ai longtemps été tiraillé dans le choix de mes fréquentations. Caricaturons. À ma droite, les personnes populaires mais parfois  un peu creuses ou égocentriques. À ma gauche, les timides, souvent plus réfléchis, et également plus à l’écoute, mais tellement moins aventuriers. 

Pourtant, une seule conversation avec quelqu’un de réservé suffisait à me convaincre de qui était plus authentique, plus réfléchi, et plus intéressant. C’était comme une excellente chocolaterie à la vitrine opaque !

2) Match nul, balle au centre

Et un jour, eurêka ! Je sortis de ma caverne ! Avoir vie sociale riche et complète ne m’offrait qu’une option valable. Il fallait convertir, transformer l’équation, intervertir les rôles, modifier les mœurs, bref : changer l’eau en vin. En réalité, ça signifiait aider les timides à renforcer leur carapace ! Leur permettre d’aller là où ils n’allaient pas.

Comme vous le savez, vivre en société, c’est chercher l’équilibre entre particularisme et conformisme.  D’un côté, si vous êtes pleinement indépendant, si vous n’avez rien de commun avec autrui et que vous ne faîtes aucune concession, tout le monde vous lâche. Mais de l’autre côté, si vous êtes trop soumis aux normes, sur-adapté et semblable aux autres en tous points, vous perdez toute ta saveur.

– « Ok Louny, alors on se tire une balle ? »

– « Reprenez plutôt une part de tarte ! »

Les hommes timides se montrent souvent plus disponibles, très attentifs et développent un grand talent d’observation et d’écoute. Ainsi, par la force des choses, ils développent les qualités essentielles pour être un bon ami, un bon leader, un bon séducteur. Simplement, trois obstacles majeurs les empêchent d’en profiter pleinement. La peur. La peur. Et… (oui c’est ça) la peur !

B- Quand la foi balaye le doute

Le secret, c’est de s’asseoir à la table des grands et de participer à l’écriture des règles. Imaginez ! Et si votre famille, vos amis, votre patron, vos voisins ou les dirigeants de votre pays, si tout ce beau monde se mettait du jour au lendemain à vous écouter passionnément ? Et si toutes les femmes qui vous attirent brûlaient d’envie d’écouter ce que vous avez à dire… La vie ne serait-elle pas (beaucoup) plus douce ? Hein ?! 😉

Naturellement que vous êtes sceptique ! Vous qui croyez peut-être manquer de courage, de compétences sociales ou d’ambition. Mais mijotez encore quelques secondes ces douces pensées. Repassez-vous le souvenir des vos frustrations passées. 

Qu’importe votre histoire, vos compétences ou votre statut social, je vous donnerai le courage de faire ce qu’il faut. Dès le premier pas, vous verrez qu’une simple petite action peut transformer votre monde ! C’est l’effet papillon.

 

III- TIMIDE, QUOI FAIRE ? 

A- C’est de la magie ? Non, de la psychologie !

Combien de fois êtes-vous resté en boîte de nuit à tripoter votre verre au bar,  alors que se tenait à un mètre de vous la femme de vos rêves ? Combien de fois avez-vous rêvé que votre whisky ne se change en potion magique ? Combien de fois êtes-vous resté devant ta télé, n’osant peut-être même pas répondre aux invitations qui vous étaient faites ? Combien de fois avez-vous regardé votre téléphone, en n’ayant à vrai dire aucune invitation malgré l’envie de vous amuser ? 

Observez cette timidité vous bouffer tout cru ! Observez-la vous interdire d’aborder des inconnues, proposer des rencontres, prendre la parole ou initier projets ? Pire, regardez-la vous faire culpabiliser et vous empêcher de profiter pleinement de l’instant présent ! Non mais bordel, pour qui se prend-elle ?!

Comme vous l’avez compris, j’utilise ma connaissance de la psychologie  humaine et mes compétences en communication pour aider les hommes ambitieux dans leurs relations aux femmes. Mais mon approche est plus globale que ça !

Au lieu d’agir sur vos comportements, de vous mettre mal à l’aise et que ça vous soit désagréable, je transforme directement votre état d’esprit : relaxation, recherche de vos valeurs fondamentales, appropriation de votre histoire, bien-être émotionnel, vision de soi claire, projet de vie défini, neutralisation des croyances limitantes, augmentation de la confiance en toi, renforcement de vos motivations sociales et détermination à agir… 

Ce conditionnement psychologique nouveau, solide et puissant,  impacte l’ensemble de vos perceptions, de vos sentiments et de vos comportements ! Vous verrez que c’est un vrai régal que de faire le ménage dans sa tête, de s’offrir la tranquillité de l’esprit et de pouvoir enfin croire en soi-même, assumer ses rêves, et se sentir prêt à tout !

B- C’est dans la tête. Mais pas que…

 La psychologie est un sport de combat.

Je crois dur comme fer que la timidité n’est pas une identité, mais un état. Par conséquent, on peut agir sur elle !

Le débat « inné/acquis » a longtemps agité la communauté scientifique au sujet des recherches sur le comportement humain et sur le tempérament. En général, ceux qui s’expriment sur vos actes ou votre état d’esprit font ce que les psychologues nomment l’erreur fondamentale d’attribution (Ross, 1977). Il s’agit d’un biais d’internalité qu’on retrouve souvent dans les discussions de comptoir (« Waouh, il a la musique dans la peau », « C’est une flippette de nature », « Mais quel talent, le gamin a ça dans le sang »). Ces thèses génétistes sont aujourd’hui modérées par la progression des neurosciences qui nous permettent d’éclairer la part jouée par l’héritage neurologique et les responsabilités d’autres déterminants plus contextuels, plus malléables.

Ainsi, je ne suis pas quelqu’un de confiant. J’évolue dans un certain contexte qui me permet d’agir avec confiance. Avec l’apprentissage, l’entraînement et le contexte adéquat, chacun peut se mettre en condition d’être à l’aise avec les autres, lors d’une première rencontre, pendant une conversation de groupe, à l’occasion d’un rendez-vous ou pendant un événement public. Mieux ! Vous pouvez devenir un véritable influenceur tout en offrant au monde le meilleur de vous-même !

C- La méthode aigre-douce

L’originalité de mon approche est de se vouloir ambitieuse mais très progressive et centrée sur le conditionnement mental. Trop de coachs sont là pour te vendre des remèdes miracles, ou de « la poudre de perlimpinpin » comme il se dit ces jours-ci !

Beaucoup vous recommandent simplement une liste superficielle de techniques en communication sans garantie de résultat. L’inconvénient de ces consultants à l’américaine réside dans la faible durée de vos progrès : les habitudes reprennent très vite leur place et vous aurez investi du temps dans une solution éphémère.

Je vous confie à l’inverse un chantier en profondeur mais durable : un authentique développement de vous-même ! Une mise à niveau de votre hygiène de vie par une assise de votre philosophie, une toilette de votre environnement, un soin de votre entourage, un tri de vos activités, un affinage de vos compétences sociales et bien sûr le blindage de votre sociabilité ! Car tous ces éléments sont connectés de façon mécanique avec votre confiance en vous.

L’une des étapes clé de mon programme consiste à vous aider à bâtir tout autour de vous des relations de confiance. Ce sont des liens forts avec des personnes différentes dans chacun de vos cercles sociaux. Ces connexions vous confèrent un sentiment de sécurité, elles stimulent votre intelligence émotionnelle, ouvrent votre esprit, renforcent votre confiance en vous. Elles vous apportent aussi plus de sérénité, en vous aidant à surmonter les épreuves et en vous poussant vers la réalisation de vos rêves !

J’espère que vous connaîtrez vous aussi l’expérience incroyable de cette métamorphose !
 

Avec amour, 
Louny Bostok

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