« Le plus grand voyageur n’est pas celui qui a fait dix fois le tour du monde, mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même.« – Mahatma Gandhi
Dans cet article :
- Les raisons de mon amour pour la psychologie
- L’importance vitale des « soft skills »
- Le coaching relationnel : entre charlatanisme et professionnalisme
Il est toujours enrichissant de s’interroger sur son propre chemin, comprendre d’où l’on vient, où on va, tout ça… Permettez-moi ici de partager cette petite introspection avec vous, si les points ci-dessus vous intéressent. Oui. Donc, je me parle à moi-même. N’ayez pas peur.
I- D’OÙ VIENT MA PASSION POUR LA PSYCHOLOGIE ?
Quoi de plus enivrant que deviner l’humain ?
Lui dire qu’il porte en lui la joie des lendemains,
Ce dont il a besoin, ce qui le fait sourire,
Ce qui lui fait envie, ce qui lui fait plaisir
Et lui pouvoir offrir ce qui le satisfait !
Ce qui me frappe chez beaucoup de gens, c’est la différence incroyable entre leur vie potentielle et leur vie réelle ! Cet écart inimaginable entre ce qu’ils ont le pouvoir d’accomplir le matin et ce qu’ils ont accompli le soir. Sans le savoir, ceux qui rêvent d’une vie plus palpitante ont souvent toutes les cartes en main ! Il suffit de les leur montrer.
Plus que l’histoire, le droit et l’économie, la psychologie est à mes yeux la plus formidable clé de compréhension du monde. Quelles forces nous poussent à nous lever le matin ? De quoi sommes-nous les instruments ? Et peut-on apprendre à en jouer ?
Plus je découvre les lois du cerveau et plus je pense : « tout est possible. » Il suffit de trouver le chemin adapté à chacun ! Voilà ce qui me passionne dans la psychologie, dans cette cartologie de l’âme, ce manuel de l’esprit : assembler une à une les pièces du puzzle, offrir à l’esprit des repères, une stabilité, une vision et l’envie de la voir s’accomplir.
II- PSYCHOLOGUE EN « SANTÉ RELATIONNELLE » ? OUAIS !
J’utilise l’expression de santé relationnelle pour insister sur une idée simple : les relations humaines ne sont pas un luxe mais une nécessité vitale. Les autres ne sont pas une option. Tous autant que nous sommes, nous dépendons des autres êtres humains presque autant que de l’air qu’on respire. Ils sont pour nous un besoin naturel et fondamental !
C’est encore peu connu, mais la science a su prouver depuis longtemps que la solitude tue. Statistiquement, être solitaire est aussi mortel que fumer des cigarettes ! La science montre surtout à quel point des relations de qualité préservent nos facultés mentales et physiques. Notre cerveau reste en meilleure forme, notre mémoire se maintient, nos raisonnements aussi. Et nous guérissons mieux lorsque nous tombons malades. L’intégration sociale, c’est aussi important que le sport ou l’alimentation !
III- POURQUOI ME LANCER DANS LE COACHING RELATIONNEL ?
A- Les relations humaines, la clé du bonheur
« Quel est ton souvenir le plus heureux ? »
Peu de personnes commencent leur réponse par : « Je m’en souviens bien, c’est le jour où j’étais seul, sans aucun ami, à l’époque ou personne ne m’aimait et que… » Généralement, les souvenirs les plus heureux sont des souvenirs partagés, sociaux, qui représentent des moments de grande intégration, avec un sentiment d’appartenance fort à un groupe d’amis, un couple, une famille, un parti, etc.
Même si on en a souvent l’intuition, le fait scientifique est encore peu connu : des recherches académiques très sérieuses, conduites dans les plus prestigieuses universités du monde, ont démontré que les relations humaines sont la véritable clé du bonheur !
En ce qui me concerne, je pense notamment aux relations hommes-femmes. Celles-ci sont particulièrement structurantes dans la vie d’un individu. Elles figurent parmi les plus profondément inscrites dans notre code génétique ! C’est une injonction de la nature, intensément ressentie dans la chair et l’esprit !
B- La beauté des contextes informels
Qu’on le veuille ou non, nous sommes programmés pour éprouver une attraction réciproque, ce qui nous lie même au-delà des contextes formels comme le travail ou le commerce. Qui n’aime pas les cadres informels?! Les bavardages de la machine à cafés, les rencontres de séminaires, les discussions d’hôtel, les aventures d’un soir. Tellement plus libres, tellement plus surprenantes et plus aventurières !
Code vestimentaire, registre de langue, langage corporel, disponibilité, sujets de conversation adéquats… Les normes existent aussi en conttexte informel, mais de façon moins explicite. Les barrières s’y estompent. Les possibilités se multiplient. Mille et unes conventions voudraient encadrer nos comportements, mais nulle n’est écrite noir sur blanc. Chacun peut s’en servir ou s’en détourner, s’y soumettre ou les transgresser, selon l’effet recherché.
C’est un jeu de symboles très subtil ! L’École ne nous y prépare pas. Et pourtant ! Que d’énergie est dépensée, que d’argent est investi, que d’efforts sont consentis pour gagner la partie !
C- Redonner de la force aux mâles de ce siècle
La virilité est aujourd’hui remise en cause. Nous sommes entrés dans la deuxième phase d’une dialectique qui a longtemps vu les hommes dominer la gente féminine par la force et l’abus de pouvoir. Les hommes vertueux d’aujourd’hui semblent comme pris entre deux feux, avec d’une part la classe des machos directifs et oppressants, et d’autres part celle des puceaux timides et frustrés. Une troisième voie doit voir le jour et imposer la place qui lui revient !
On dira ce qu’on veut, je trouve le rapport de séduction quelque peu favorable aux femmes, qui nous laissent souvent la charge de la proaction et se réservent souvent le privilège de sélection. J’en profite ici pour rendre hommage à celles que le premier pas n’effraie pas.
D- Protéger la profession contre les charlatans, la misogynie et l’androphobie
Enfin, il existe trop de charlatans sur le marché de la séduction. Ils vous vident les poches en vous envoyant dans l’arène sans préparation ni protection, armé de quelques techniques de dragouille bien artificielles. C’est monter à l’assaut de dragons, une épée de bois à la main. Aucune chance de sauver la princesse !
Leurs élèves, pourtant remplis de bonne volonté s’épuisent à la tâche pendant des années tout en continuant de rentrer seuls chez eux le soir ! Et ils se répètent sans arrêt : « ce sera mieux demain » ! Beaucoup finissent par blesser leur estime personnelle et certains intériorisent un grand ressentiment à l’endroit des femmes comme si leurs seuls efforts méritaient l’amour. C’est l’exemple incarné par les Incels. Ça ne marche pas comme ça.
En pratiquant le coaching relationnel, je compte remettre à l’honneur le fondement scientifique des conseils proposés et les valeurs humanistes qui devraient guider toutes nos relations à l’heure où la séduction vacille entre un machisme aigu et le zèle de certaines féministes androphobes.
IV- QU’EST-CE QUI ME DISTINGUE DES AUTRES COACHS ?
A- Le titre de psychologue
Avant tout, je suis psychologue. Nos études en psychologie dispensent des enseignements précis sur l’esprit humain, nos besoins et nos modes de fonctionnement. De la structure du cerveau, aux dynamiques hormonales, des mécanismes cognitifs aux comportements de groupes, on explore les sensations, la pensée, la mémoire, les émotions, et surtout les influences sociales, au sein de ma spécialité ! Mes clients aiment être placés entre de bonnes mains, et ne pas faire confiance au premier quidam qui se pose en expert.
C’est aussi une familiarité avec les aspects éthiques de l’activité, que tout psychologue doit s’efforcer de respecter à travers l’application d’un Code déontologique officiel auquel il se soumet.
B- La séduction au-delà des techniques
« Donne-lui un poisson et il mangera ce soir. Apprends lui à pêcher et il mangera toute sa vie. » Beaucoup de coachs vont se contenter d’apporter des techniques de drague ! Voilà bien un truc dont j’ai horreur. Pas la technique en soi, mais la priorité de la technique sur la personnalité. La superficialité, le déguisement de soi, l’absence de spontanéité. La technique est souvent utilisée à tous bouts de champs comme une panacée, alors qu’elle devrait demeurer anecdotique.
« Tu es dans un bar, seul, en quête de compagnie féminine. Un coach t’exhortera par exemple à utiliser le FTC ou la technique du False time contraint. Faire croire à une femme que tu es abordes que tu es pressé car des amis t’attendent, par exemple. Cette technique lui indique que tu ne vas pas lui tenir la jambe pendant mille ans. Tu n’es là que pour un bref instant car, étant un homme sociable, apprécié et occupé, ton agenda est plein. Cette rareté, si elle est bien communiquée, te rend précieux. tu accordes ton temps à cette femme, non parce que tu es seul et sans alternative, mais parce que tu lui trouves de l’intérêt malgré tes multiples options. Toutefois, au lieu de mentir sur le fait que des amis t’attendent, travaille ton style de vie, soit réellement dynamique et personne n’ira même suspecter que tu sois un boulet, parce que ton indépendance transparaîtra ! Cela t’évitera de t’engluer dans une toiles de mensonges tous plus moches les uns que les autres. »
Deuxième exemple encore plus parlant : les kinos. Comment se connecter physiquement avec une femme ! Pour certaines personnes, la chose est naturelle et pour d’autres pas du tout. Mais le toucher est quelque chose de très intime. Il existe des techniques pour apprendre à toucher une femme, mais à mon sens c’est plutôt comme un sourire : un sourire doit être authentique pour avoir de la valeur. Un sourire, s’il est ressenti par la personne qui le porte, si sa cause et juste et si le gentleman s’est lavé les dents, sera toujours très bien accueilli ! De même il faut faire tomber les blocages mentaux, se sentir proche des autres et aimer la chaleur humaine pour être tactile plus spontanément.
Je défends l’idée que les hommes doivent renforcer leur personnalité et voir une approche honnête ! En devenant une personne consistante, congruente et passionnée, le comportement adéquat découle beaucoup plus naturellement dans les interactions et donne des résultats très surprenants ! Cette position reste assez commune dans le discours. Beaucoup de coachs disent la même chose. Mais au-delà des mots, ils préparent leurs élèves comme des robots, et abusent de la technique. Cela conduit à une génération de dragueurs super stéréotypée !
A l’inverse, j’investis toujours beaucoup de temps pour que mes clients prennent leurs marques et consolident leur personnalité ! Ils se dotent d’un atout simple mais majeur : l’authenticité ! Puisqu’ils sont à l’aise avec eux-mêmes et originaux dans leur approche, les femmes n’ont nul besoin d’être méfiantes, de décoder de mauvaises intentions ou de garder leur distance ! Elles profitent simplement de ces hommes énergiques, heureux, confiants, simples, présents pour passer de bons moments et offrir de la bonne humeur !
Ce qui me fascine en tant que psychologue, c’est ce fameux déclic ! Quand un client comprend ce que veulent les femmes et ce qu’il porte en lui-même quelles convoitent !
C- L’art de la conversation
Et enfin, toute mon approche s’articule autour de l’art de la conversation ! Qu’est-ce que la conversation ? Un pont vers l’intimité ! On peut facilement conclure sans parler dans certains contextes plus instinctifs comme les clubs, mais il n’y a rien de plus sophistiqué qu’une belle conversation pour comprendre l’autre en profondeur et se lier durablement !
Votre présence physique, votre humeur, votre énergie, votre proximité, votre histoire, vos idées, vos envies, vos projets… tout peut se dire au cours d’une conversation ! Je sais que beaucoup de coachs restent sur le terrain de la forme et préfèrent esquiver les questions de fond ! Du coup ils laissent souvent leurs clients un peu nus, sans inspiration. Le client se pose la question, il leur demande : « mais qu’est-ce que je vais pouvoir dire si je me retrouve avec elle ? » Ils répondent généralement que ça n’a aucune importance, que l’important c’est la façon de parler. » Mais lorsqu’au cours d’un dîner, on n’entend que les mouches voler, ça commence à avoir de l’importance.
Une femme intelligente exigera de ses partenaires qu’ils soient cultivés, qu’ils aient leur propre personnalité et de la conversation ! Ce n’est pas avec un peu de parfum qu’on charme une femme fatale !
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